Vendredi 4 février 5 04 /02 /Fév 20:46

le point de vue du soumis maintenant merci Sophie

J’écris pour témoigner sur ma condition d’homme soumis, afin d’expliquer ici mon réel bonheur à servir et aimer une femme telle que Sophie et en choisissant délibérément la soumission. Beaucoup d’hommes en effet ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre mon attitude et ma dévotion envers la Femme que j’ai choisi d’aimer. Et je dis bien choisi, car ce n’est ni par contrainte ni par faiblesse que j’ai décidé d’obéir à celle qui est devenue ma Maîtresse, mais simplement par amour et par passion. Et en m’abandonnant à elle, c’est le bonheur que j’ai découvert. La soumission n’est pas une prison, ou alors avec la porte grand ouverte car aujourd’hui, rien ne m’empêche de partir. Mais quand on a découvert le bonheur, le plaisir et la sérénité, on n’a plus envie de le quitter. C’est aussi simple que ça. L’abandon de soi n’est pas un sacrifice, mais un acte d’amour. Quel autre plaisir aussi fort peut-il y avoir que de rendre une femme heureuse ? Car ce que j’ai découvert dans l’évolution de notre relation domination soumission, c’est qu’en donnant beaucoup à ma Maîtresse, je recevais mille fois plus d’amour qu’avant. Ma Maîtresse ne m’aime que davantage et s'occupe tous les jours de moi. Et depuis que je la sers et lui obéit, elle est beaucoup plus attentionnée à mon égard, plus câline, plus amoureuse . Notre relation s’est trouvé enrichie. Alors aujourd’hui, pour rien au monde je ne voudrais quitter ma douce vie d’homme soumis, pour retrouver la vie de couple monotone de monsieur et madame tout le monde qui finit souvent par une séparation après tant de déboire et de chamailleries.
Bien sûr, j’imagine que certains hommes en me lisant doivent être sceptiques, et se demandent comment on peut trouver le bonheur en étant un esclave. C’est justement que je ne suis pas un esclave, comme beaucoup de gens ont tendance à penser quand on parle de domination. La relation de Maîtresse soumis n’est pas une relation de force ni un abus de pouvoir, c’est en fait un échange, ou chacun occupe sa place qu’il a librement choisie. C’est une relation d’amour qui ne peut évoluer que dans le respect mutuel, et quand on a compris ça, on peut enfin entrevoir le bonheur qui se propose à nous.

Aujourd’hui, je suis un homme parfaitement épanoui, et cela grâce à la femme merveilleuse qui a su me guider. Nous vivons comme tous les couples. Chaque jour je vais travailler, je peux voir mes amis et ma famille aussi souvent que je le veux, je peux faire du sport et sortir pour me détendre comme c’est le cas pour beaucoup d’entre vous. La seule chose qui change avec tous les autres couples, c’est que ma femme domine.

Mais bien sûr on ne devient pas soumis en quelques jours. C’est un long cheminement, une progression lente avec beaucoup d’amour et de complicité. Il faut d’abord aimer la Femme avant de vénérer la Maîtresse et que celle-ci aime d’abord son homme avant de dominer son soumis. Sans respect mutuel, sans amour et sans complicité, cette relation n’a aucune chance d’aboutir.

Cela a commencé lentement. D’abord par notre vie sexuelle. Ma Maîtresse n’avait rien de la femme qui s’allonge sur le dos et qui attend que l’homme lui donne du plaisir, alors tout naturellement, dès les premiers instants elle prit les initiatives. Si cela m’a un peu perturbé la première fois, je dois dire que je me suis habitué très vite. Car c’était très plaisant pour moi. Je n’avais rien du macho de base qui se sent obligé de jouer les hommes virils en montrant sa puissance. Toutes les autres femmes que j’avais connues avant ma Maîtresse étaient plutôt du genre à attendre, à me laisser toutes les initiatives. Et je dois avouer que si cela ne me déplaisait pas, je n’éprouvais pas pour autant une grande satisfaction à diriger. Et pour tout dire, je trouvais à l’époque que faire l’amour n’avait rien de bien transcendant. Cela me plaisait, mais sans plus.

Alors quelle différence quand j’ai rencontré ma Maîtresse ! Le fait de faire l’amour avec une Femme active qui assumait pleinement ses désirs fut une révélation pour moi. En la laissant prendre les initiatives, elle me fit découvrir tout le bonheur à faire l’amour. Elle jouait avec mon excitation, faisant monter mon plaisir, avant de le freiner pour mieux le laisser rejaillir. Et quelle force dans la jouissance quand vous ne la contrôlez plus. Quel plaisir de se laisser bercer, caresser, cajoler. Je découvris grâce à elle ce que voulait dire faire l’amour. Les Femmes ont une vraie connaissance et une vraie sensibilité à l’érotisme, à la sensualité, à l’amour. Et je découvris en même temps le plaisir qu’il y avait, non pas à obéir, mais à se laisser guider. Car comme je lui laissais les initiatives pour mon plus grand plaisir, elle m’indiquait ce qu’elle aimait elle. Je me laissais faire, et comme elle me donnait tellement de plaisir, c’est avec bonheur que je répondais à ses demandes.

Je crois qu’inconsciemment, c’est là que j’ai pris conscience du plaisir à donner, à offrir, à me laisser guider. Plus de questions à se poser, plus de réponses à trouver, plus de pression. Je n’avais plus besoin de réfléchir sur comment rendre ma Femme heureuse. Elle m’indiquait où était son bonheur, et moi je me soumettais volontiers, et lui offrais ses désirs pour la rendre heureuse. Quel plaisir et quel confort de s’abandonner à ses désirs. Je n’avais jamais éprouvé un tel sentiment d’importance, de bonheur et de liberté.

Pour le reste, tout a été lent et progressif. Mais néanmoins, le plaisir de me laisser guider, d’être soumis à ma reine se fit encore plus présent et plus évident. Je me sentais bien, et j’avais envie de la rendre encore plus heureuse, d’être un homme protecteur et attentionné. Je voulais veiller sur elle, sur son bonheur. Alors naturellement, comme elle rentrait tard du travail, je me mis à préparer le repas, à mettre la table et la servir. Ses yeux étaient brillants chaque soir, et je savais que cela la rendait heureuse de trouver le dîner prêt à son retour à la maison. Et il était naturel pour moi qu’elle se détende après une dure journée de travail.

A partir de ce jour, je me mis naturellement à m’occuper de la maison. Ma femme ne me dominait pas encore comme elle le fait aujourd’hui, mais il devenait évident pour moi que je m’occupe des tâches ménagères. J’admirais ma femme, qui n’était pas encore ma Maîtresse mais que je commençais à voir comme telle. Et naturellement, cela devenait inconcevable pour moi que ma femme, travaillant dur la semaine, fragile, tendre et amoureuse, fasse ces choses là pendant son temps libre. Je voulais la décharger de tous ces petits soucis du quotidien. Je voulais qu’elle se détende, qu’elle soit heureuse.

Les jeux de domination soumission se sont développés comme une suite logique. Cela a commencé en douceur.

Comme je l’ai dit plus haut, tout se fait dans le respect mutuel et dans la complicité. Car sinon rien ne pourrait se passer. Et si tout est concentré en quelques lignes, je rappelle qu’il faut du temps, et que cette relation ne se développe qu’avec la patience et au fil des mois. Mais bien sûr, ici je suis obligé de regrouper les évènements.

Ma Maîtresse n’ordonnait pas, ne me forçait pas. Elle me guidait juste dans le plaisir de ces jeux. Elle m’éduquait avec subtilité et tendresse, pour me faire progresser à ma vitesse, vers un jeu où nous prenions beaucoup de plaisir. Et c’est avec une grande joie que j’accueillais à chaque fois ses nouvelles idées.

C’est le collier qui est arrivé ensuite. Ma Maîtresse savait me présenter les choses, en utilisant les allusions bien placées. Et un jour, alors que je lui embrassais ses escarpins, je l’entendis me dire que je serais certainement plus beau avec un collier, et que cela devrait m’aller très bien.

Pendant quelques jours, je me demandais ce qu’un collier pourrait apporter de plus. Comme d’habitude, ma Maîtresse ne m’imposait rien. Elle se contentait de me suggérer les choses, et elle me laissait le temps d’y réfléchir, d’y penser librement. Et lentement dans ma tête, a germé la notion de symbole fort. Un symbole d’appartenance dans la complicité, dans l’amour. Une sorte d’alliance qui montre à la personne aimée à quel point on l’aime. Je me suis rendu compte du merveilleux cadeau que je pouvais lui faire. Et c’est donc moi, un samedi après midi, qui ai formulé la demande pour aller acheter un collier. Nous l’avons donc choisi ensemble. Et le soir même, j’éprouvais une grande fierté à le porter pour elle. Ma Maîtresse était ravie. Ce fut, je dois le dire un grand moment qui restera gravé dans nos mémoires.

Et sans m’en rendre compte, je me suis aperçu que je ne le quittais plus. C’est ma Maîtresse qui me le fit remarquer. Un peu surpris, et ayant peur de la décevoir, je lui demandais alors si cela lui déplaisait. Elle me répondit avec un grand sourire qu’au contraire, cela lui plaisait beaucoup, et qu’elle était heureuse que je lui montre mon bonheur en portant ce collier.

Quelques semaines plus tard, c’est la laisse qui vint pimenter nos jeux. Je découvris alors le plaisir de la promenade avec ma Maîtresse. Depuis quelques temps déjà, elle s’amusait à me faire marcher à quatre pattes, me disant qu’elle me trouvait très beau et que c’était très excitant à voir.

Les choses ont évolué petit à petit, comme une progression normale, sans jamais que je ne sois forcé ni contraint. Mais ce qui était acquis devait le rester. Et c’est comme ça que la notion de rencontre avec d'autres hommes est arrivée.

Aujourd’hui, nos jeux ont évolué et vont donc beaucoup plus loin. Ma Maîtresse a su m’éduquer pour faire de moi un parfait soumis à son plaisir. J’ai progressé, pour mon bien et pour notre bonheur, et à chaque fois, ses nouvelles idées me transportent de plaisir car je sens vraiment ma femme heureuse et épanouie. Alors comme je le disais plus haut, qu’y a-t-il de mieux dans la vie que de rendre sa Femme heureuse ? Par rapport à la rencontre évoquée dans l'autre post je n'ai jamais été été aussi te et je n'ai jamais reçu apres autant d'amour ce qui m'incite à recommencer.

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : CONTRIBUTIONS - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Mardi 1 février 2 01 /02 /Fév 20:32

Voila une histoire qui peut te plaire


Premièrement puisque sa bite m'est devenue inutile, il porte une ceinture de chasteté.Deuxièmement, il doit me trouver une fois par mois, un amant bien membré et endurant pour satisfaire mes ovulations ! Il a intérêt à bien chercher car, s'il ne me convient pas, il devra attendre le mois suivant pour pouvoir se branler.

Hier, il m'a présenté Vincent, un type dont Patrick a jaugé la bite dans les vestiaires de son club de sport. Une tenue plus que sexy, robe noire fendue laissant apparaître la lisière de mes bas couture, un décolleté échancré, et une paire de mule à talons aiguilles a mis rapidement Vincent dans tous ses états. Patrick m'a alors préparée avec sa langue sous ma robe pendant que Vincent me regardait en se caressant la bite. Je le complimentais sur la grosseur de son engin. La comparant à la petite bite de ma lopette, je lui expliquais que Patrick ne parvenait pas à me faire jouir. Je sais que mes paroles excitent Patrick. Chaque humiliation accélérait le rythme de sa langue. Mais il ne peut pas se caresser, sa ceinture l'en empêche. Son sexe est entravé, tout gonfler dans son étui, il sait que si Vincent ne m'apporte pas un orgasme, il restera ainsi, ses couilles pleines de sperme jusqu'au mois suivant. Alors il s'applique, ma jouissance en dépend. Après une bonne demi-heure de lèche, Patrick met un préservatif à mon futur amant. J'ai envie de sa queue, et je vais enfin l'avoir. On peut dire que Vincent m'a bien baisée. Il m'a prise brutalement, je sentais sa verge me remplir et taper au fond de mon vagin. Aucune douceur, juste de la queue. J'adore. J'adore ce moment où je ne suis plus qu'un trou, où je m'entends jurer. Il me baise bien ce salaud. J'aime sa queue. Regarde chéri comme il me baise. Regarde ta femme dans les mains d'un autre. Cette situation perverse m'excite, je me laisse aller. Parfois dans ces moments là j'offre mon cul à mes amants, mais pas ce soir, sa bite est trop grosse, mon vagin est gourmand, je vais jouir. L'orgasme est puissant, pas besoin de me caresser, sa bite me suffit. Je jouis. Ma lopette me regarde, je ferme les yeux, un petit cri. Vincent comprend qu'il est entrain de me faire jouir, son excitation est alors à son comble, il se vide.
Son préservatif est plein, mon mari lui retire et le noue, puis le repose sur la table. Il sait qu'après le départ de Vincent, une fois que son contenu aura été réchauffé afin de le stériliser, il devra le déguster sous mes yeux en se branlant. C'est la seule forme de jouissance que je lui autorise.
Vincent est parti, Patrick va faire chauffer le préservatif dans un bain mari. Il revient. Je lui retire sa ceinture avec difficulté, son membre oppressé se raidit instantanément. Il troue le préservatif avec ses dents, et déverse le sperme sur les lèvres de mon vagin. Patrick aime le sperme. Il lèche, et se branle modérément pour ne pas jouir. "Arrête ! Va dans le congélateur, j'ai une surprise pour toi".
"Cette après midi, je me suis tapé Nicolas, ton meilleur ami, et je t'ai conservé sa semence pour ton désert. Tu sais, pour un ami, il ne m'a pas résisté longtemps" Patrick revient à mes pieds, mets le préservatif congelé dans sa bouche. "Pendant que tu dégèles le sperme de ton pote, branle-toi bien". Patrick est à genou devant ma moule, le préservatif de son ami dans la bouche. "Maintenant mâche le bien ce préservatif, tu va sentir le sperme de Nico couler dans ta bouche". "C'est bon, tu aimes le sperme petit cocu, allez jouis." 

Maîtresse Sophie a trouvé la perle rare ...

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : CONTRIBUTIONS - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Jeudi 27 janvier 4 27 /01 /Jan 22:02

Après la lecture du récit envoyé par Sophie, soumis attendait sa Divine au fond du lit à sa place ... Il a d'abord réchauffé les pieds gelés de sa Maîtresse puis a eu droit de la faire jouir avec sa bouche. Maîtresse lui a ordonné ensuite de frotter sa petite nouille contre sa cuisse ... 

"Tu as le temps de la cuisson d'un oeuf à la coque et pas une minute de plus pour cracher ta morve soumis!" Résultat : un temps record : moins d 1 minute !!!! 

Maîtresse était très satisfaite de voir que sa larve pouvait être EP sur commande sans conditionnement ni cage ... 

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Humiliations et châtiments - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Lundi 24 janvier 1 24 /01 /Jan 21:54

Maîtresse vous transmet deux textes envoyés par Sophie (fidèle du blog depuis 2009) Une Reine une vraie! Mille remerciements 

 

Je t'envoie le mail que je viens de recevoir suite à une annonce que j'avais passé, je pense qu'il va te plaire.

Je vous écris ici suite à la découverte de votre annonce qui correspond en de nombreux points à la situation que je connais depuis maintenant plus d'un an et demi avec ma femme. J'ai toujours eu des attirances pour la relation domination-soumission, pour diverses pratiques légèrement en décalage avec ce qui est communément admis par la majorité des gens, mais à chaque fois c'était moi qui avait le contrôle de la situation, qui décidais, qui commençais ou mettais un terme aux débats. Avec ma femme, il en a donc été naturellement ainsi au départ. Certaines choses avaient toutefois évolué depuis ma vie avec elle, puisque elle aimait passer des jeux de soumise au rôle de maîtresse plus directive. Ses tendances de domination-soumission, mélangées aux miennes, nous faisaient naviguer donc dans un certain esprit versatile, nous échangions les rôles, même si dans la plupart des cas, c'est encore moi qui décidais de tout. Quant au fait de me tromper, de vouloir l'être, il n'en était aucunement question pour moi.

Je la provoquais quelques fois, lui disant que nous pouvions aller plus loin, qu'elle pourrait être plus curieuse dans les domaines sexuels qui m'attiraient, qu'elle pourrait aller sur le net pour voir ce qui se faisait, ce qui m'excitait, pour apprendre de certains sites et de certaines pratiques. Aussi, je fus agréablement surpris au départ lorsqu'elle se mit à surfer un peu plus qu'à son habitude, surtout que je pouvais de temps à autre constater le bon choix des sites qu'elle fréquentait, et qui ne la laissaient pas indifférente. Mais son comportement a changé petit à petit, sans vraiment que je m'en rende compte, disons simplement par toutes petites touches. Je mettais tout ceci sur le compte des soucis de travail, sur quelques énervements, etc... au bout d'un certain moment pourtant, plusieurs éléments venaient me rappeler qu'elle prenait de plus en plus de poids, d'importance, d'initiative dans nos relations sexuelles et dans la pratique consistant à me soumettre à elle. Un soir je compris un peu mieux l'évolution de la situation, suite à son aveu : elle discutait depuis un mois avec une maîtresse sur Internet, qui avait pour spécialité de mater les maris, de les retourner de macho en petite soubrette aimante à domicile. Je ne voyais pas où tout cela pouvait mener et c'est sans doute la raison pour laquelle je fus assez excité de cette réalité. Devant mes bonnes prédispositions, elle me demanda alors de mettre un contrat au point entre nous, pour continuer cette évolution, pour aller plus loin, pour accentuer les plaisirs et les fantasmes. Je n'y étais pas opposé ne sachant pas les aboutissants et les arrières pensées de cette proposition. Je ne voyais qu'un jeu.

Sur idée de sa correspondante, elle avait élaboré un programme et un contrat, qui stipulait tout ce dont je devais être au courant pour la prochaine année à venir de nos relations sexuelles. Je perdais toute initiative, je devenais soumis, je devais porter en permanence une sorte de ceinture de chasteté masculine qui emprisonnait mon sexe, c'est elle qui décidait de nos relations, de ses jouissances, des miennes. Il y avait des gages, des punitions pour les manquements, et des récompenses etc. sur le coup, je trouvais cela un peu plus compliqué, organisé, et contraignant que ce que j'avais pu imaginer, mais devant sa détermination, devant ses avances, devant ses menaces sous entendues de l'équilibre de notre relation j'ai accepté.

Très rapidement, j'ai compris que la dépendance sexuelle devenait la base de cette éducation. La ceinture que je portais (et que je porte toujours) correspond à une sorte de cage, avec mécanisme de fermeture et d'enlacement qui m'enserre le sexe, les reins, et qui empêche toute érection normale, et ne permet pas de pouvoir jouir. Elle seule possède la clé, et non seulement il est beaucoup plus difficile qu'il n'y paraît de s'en débarrasser, mais en plus c'est on ne peut plus douloureux vue le mécanisme d'enlacement spécialement conçu qui déchire la chair si on force la serrure ou la structure métallique (il faut trois mains pour pouvoir tout enlever à un moment donner sans rien enfoncer dans le gland, et si j'assiste ma femme à chaque fois ma femme lorsqu'elle le fait je me vois mal demander de l'aide à quelqu'un). Le premier mois, je n'eu pas le droit de jouir. Pour une entrée en matière cela était difficile mais aussi très excitant. Mais insidieusement c'est tout un contrôle qui s'installait que je n'arrivais pas à saisir, que je ne voulais peut être pas, dans le fond, au départ. Lorsque c'est l'autre qui décide de la jouissance, on s'attache à la satisfaire, on essaye de la contenter, on accepte plus volontiers ses réprimandes ou au contraire ses douceurs et fantasmes. Surtout que j'ai un appétit sexuel qui me fait me transformer en quelqu'un d'assez docile pour parvenir à jouir, ce que je ne savais pas. Aussi, quand elle m'a expliqué au premier jour du deuxième mois que l'on allait passer à l'étape suivante, je n'ai pas forcément pris mes gardes là non plus, pensant qu'elle se lasserait, qu'elle me ferait plus souvent jouir. Et de fait, alors que je portais tout le temps et continuellement la ceinture, elle m'ouvrirait parois cette cage pour me permettre de jouir. A condition que je me masturbe dans un temps imparti bien précis. Il fallait que je parvienne à chaque séance de liberté, à jouir devant elle en 3 minutes, montre en main. Si je n'y parvenais pas, elle refermerait la cage jusqu'à la prochaine fois. Les premiers temps, ce ne fut pas évident, et la première semaine je ne parvins pas à jouir. La deuxième semaine, n'y tenant plus, je me répandais sur le sol. En effet, à chaque fois, je devais être à genoux, elle assise devant moi en train de se masturber, de me raconter des choses très sexuelles, me permettant même de la toucher. Deux mois plus tard, je parvenais à jouir à chaque fois en moins de trois minutes.

J'avais développé mon sens tactile, mon sens visuel pour pouvoir être très rapidement excité et jouir à chaque séance, ce qui me satisfaisait pleinement. C'est alors qu'elle enchaîna l'enseignement, en baissant le nombre de minutes dont je disposais. Je vous épargne le comptage des mois, et des minutes, mais au bout de 2 autres mois j'étais passé de 3 minutes, 2 minutes 30 secondes puis 2 minutes. Ce qui n'est pas si évident vous pouvez me croire. Toujours les séances se passaient de la même façon, elles étaient espacées normalement de quatre jours, parois une semaine. Ensuite, j'ai eu le droit à une fois tous les deux jours, et bien entendu, c'était plus difficile, parce que le manque favorisait auparavant l'excitation et la jouissance. De jouir à chaque fois, en 2 minutes prit deux mois. Le mois suivant, je devais toujours jouir en 1 minute 30 secondes, mais surtout sans avoir à la toucher, à la regarder, à pouvoir écouter ses fantasmes, me raconter des histoires. J'échouais souvent, elle me renfermait souvent sans jouir. Je développais le plus possible des choses qui me permettaient d'être excité, qui me permettait de jouir rapidement, j'accélérais mes mouvements de mains, je m'excitais de tout ce que je sentais ou voyais d'elle pendant les séances. Cela prit un peu plus d'un mois. Tombé à une minutes, puis réussissant ce challenge, elle me déclara quand je pus le faire non pas une fois mais à chaque fois, que je pouvais la pénétrer. Ce grand jour vint, elle se déshabilla, me masturba, me demanda de la pénétrer. Ce que je fis. Au bout de 30 secondes seulement, à mon étonnement le plus complet, alors que cela ne m'était jamais arrivé, j'ai jouis. Le sourire aux lèvres, elle me déclara que ce n'était pas grave, que l'on remettrait cela dans deux semaines. Je m'appliquais à la satisfaire, à jouir rapidement tout le restant des jours qui me séparaient de cette nouvelle pénétration. Je tins seulement une dizaine de coups en elle. Nouveau sourire. Elle me dit qu'on le ferait le lendemain. Le lendemain, elle me masturba pour me la rendre très dure, et au moment où elle me parla de façon très sexuelle et crue, au dernier moment avant de la pénétrer, je me déversais sur elle, sur sa peau, avant de parvenir à entrer en elle. Elle éclata de rire, à gorge déployée. De m'être ainsi conditionné à jouir rapidement, sans rien d'excitant autre que mes rapides images pour faire monter le plaisir, j'avais tout fait pour être relaché le plus possible, et ne mettre aucune barrière à la montée de la jouissance. Je n'arrivais (n'arrive) plus à me contrôler.

Je n'étais pas au bout de mes surprises, puisque encore sous le choc de cette révélation, elle se leva et téléphona à son amie d'internet. Je ne pensais plus qu'elles se parlaient puisque ma femme ne m'en avait plus jamais rien dit. Alors de savoir qu'elles se téléphonaient maintenant, et certainement depuis longtemps vu leur manière de se parler, j'en restais abasourdi.
Elle parlait de moi en des termes très injurieux, comme si je n'étais pas là, comme si tout allait de soi.
- Ca y est, il est devenu précoce.
- Ce n'est plus un petit mâle, c'est une petite merde...
La conversation qui s'en suivit, je ne la retins même pas par cœur. Seulement des bribes me sont restées. A la fin de la conversation, elle se mit devant moi, j'avais eu pour ordre de me mettre à genoux, elle me fit lui lacer ses chaussures. Pendant ce temps elle me racontait ce qu'allait être la prochaine étape.

- Tu te rends compte que tu ne peux plus me satisfaire sexuellement désormais. En même temps, il faut bien que je continue ton éducation de bon p...

 

Je te donne la suite, c'est excitant non qu'en penses tu ? Mon copain c'est reconnu dans cette histoire.


Tu te rends compte que tu ne peux plus me satisfaire sexuellement désormais. En même temps, il faut bien que je continue ton éducation de bon petit mari, et que pour autant je jouisse moi aussi. Bon il est vrai que durant tout ce temps, tu as du te douter que parfois je devais sauter le pas, parce que tes séances de masturbations ne remplaçaient pas une bonne queue... Ne fais pas cette tête, jusque là cela n'est pas arrivé souvent. Mais il va falloir t'y habituer. Désormais, je jouis, et tu jouis. Donnant donnant. Et comme toi tu ne peux plus, il va falloir que tu apprennes à vouloir et désirer qu'un autre me prenne et me fasse jouir pour avoir le droit toi aussi ensuite d'en profiter.

Ensuite, elle est partie le soir, ne rentrant que le lendemain matin.
Depuis elle sort très souvent, j'ai même rencontré l'autre maîtresse qui est venue constater mon état de précoce, et pour me montrer qu'elle était responsable en partie de tout ceci.

Quand me femme rentre de ses sorties, elle me fait mettre nu, à genoux, s'assoit face à moi ou alors n'importe ou dans la pièce, et me raconte ce qu'il s'est passé. J'ai toujours droit à quelques minutes d'histoire, puis le droit de me masturber pendant moins de 2 minutes. Je n'ai plus aucune autre excitation que celle des histoires réelles que ma femme me raconte. Elle me trompe ouvertement, et c'est à cela que je dois de pouvoir jouir ! Parfois, elle se met jambes écartées, face à moi, me fais sentir son odeur et celle des autres males sur elle et je dois me masturber. Son amie lui a dit que du fait que je ne pouvais plus l'honorer et qu'il n'y avait pas de raison qu'elle s'abaisse à se nettoyer elle même le sexe, elle pourrait tirer profit de la situation en me faisant lécher sa chatte à ses retours et à la laver. Puisqu'il ne peut plus y avoir de contamination de mst pour les autres du fait de ma fidélité plus que concrète qui m'empêche de contaminer ma femme ou ses amants qui sont des connaissances sûres et certaines de cette même amie, et puisque ma femme a toujours aimé sentir du sperme chaud la remplir ce que je ne peux plus lui apporter, elles m'ont dit qu'il n'y avait pas de raison que ma femme ne se fasse pas prendre queue nue. Et comme elle n'a pas à s'avilir à nettoyer du jus de mâle, elle me fais lécher et avaler le sperme encore chaud en elle dès son retour, faisant coïncider ce moment avec celui de ma masturbation pour que je jouisse tout en buvant le sperme de ses amants.

 

Soumis a beaucoup apprécié aussi et un prochain article révélera sa performance ....

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : CONTRIBUTIONS - Communauté : SM: Domination/Soumission
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Mardi 18 janvier 2 18 /01 /Jan 20:46

Maîtresse et son soumis se font discrets sur le blog autant que les 200 visiteurs par jour ....

Qu'importe... les projets ne verront pas le jour.

Juste envie de mater? Alors régalez-vous : 

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Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Exhibitions de Maîtresse - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Mercredi 12 janvier 3 12 /01 /Jan 21:35

Comme annoncé précédemment, aujourd'hui nous fêtons les 3 ans du blog. Soumis porte une tenue sexy pour souffler la bougie...

P1050259.jpg CIRE 3Oh la cire a coulé!!! C'est fête : Maîtresse va s'en occuper

P1040017.jpg P1040015.jpg  

 

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Soumis exhibé - Communauté : Dominatrice avec son mari soum
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Dimanche 9 janvier 7 09 /01 /Jan 21:39

Le blog  va fêter le 12 janvier ses 3 ans et oui déjà.... Le dernier post a reçu 3 commentaires ...

Maîtresse Tatiana va vous proposer 3 projets ... Ah le chiffre 3.... 

Mais il va falloir taper sur vos claviers si vous voulez que l'aventure continue à vos coms donc!!!!!

P1090715

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Exhibitions de Maîtresse - Communauté : Couples Cuckold et Gynarchique
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Mardi 4 janvier 2 04 /01 /Jan 21:24

Meilleurs voeux à tous les internautes et plus particulièrement aux fidèles du blog

Maîtresse Tatiana poursuit ses exhib ...

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Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Exhibitions de Maîtresse - Communauté : COUPLE ET JEUX DE SEX
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Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 22:13

L'année 2010 se termine mais pas les exhibitions de Maîtresse Tatiana !!! 

P1090709Maîtresse attend dans le hall ....

Par Maîtresse tatiana et son esclave - Publié dans : Exhibitions de Maîtresse
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Jeudi 23 décembre 4 23 /12 /Déc 21:41

 Maîtresse Tatiana et son Soumis vous souhaitent de très agréables fêtes 

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Par Maîtresse tatiana et son esclave - Communauté : SM: Domination/Soumission
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