pissette de soumis pongo

Mercredi 12 août 3 12 /08 /Août 21:42

pissette de soumis pongo

Maîtresse a demandé à son nouveau soumis une exhib extérieure :
"Ce matin, dès mon lever, je pense à ma Maîtresse Tatiana. Elle a demandée une exhib de son chien, un pipi. Je suis très fier d'appartenir désormais à son cheptel, j'aime qu'elle m'appelle son chien et qu'elle me traite ainsi. Je la remercie intérieurement et je calcule déjà comment vont se dérouler les choses.
Je suis le chien de ma Maîtresse, il me semble donc logique de pisser comme un chien, à 4 pattes, en levant la jambe. J'ai déjà idée de l'endroit : une zone calme qui, j'espère, ne sera pas trop fréquentée. En bon chien j'ai ressorti mon collier, un vrai collier pour chien. Je prévois de le porter. Je vais mettre aussi la culotte que j'ai acheté pour lui plaire et comme ce que je vais faire m'excite au plus haut point, j'ajoute une paire de chaussure à talons (ils ne sont pas bien hauts, 5 cm, mais j'aime beaucoup ces chaussures et ça ajoute à ma soumission).
Me voilà parti dans le vignes et la garrigue. C'est beau (photo 01), mais ce qui m'inquiète surtout ce sont les bruits des divers engins agricoles plus bas dans la vallée. Je ne suis pas certain que l'endroit soit si bien choisi pour se mettre à poil, en talon et culotte de femme et pisser à 4 pattes. Je repère un coin en contrebas qui a l'air vaguement abrité du petit chemin que j'ai emprunté.
Yapluka.
D'abord je me met en tenue (photos 02, 03, 04).
Ensuite... je galère un peu : Il n'est pas facile de se prendre en photo en train de pisser comme un bon toutou ! L'équilibre est plus que précaire, on a un maximum de chaces de se pisser dessus (je vous entends d'ici Maîtresse : en quoi est-ce un problème ? et vous auriez sans doute raison !). Et puis la garrigue, ca pique. C'est le sadisme réincarné : pas moyen de poser ses fesses où ses genoux sans souffir. Le moindre pas griffe et pique. Finalement je me dit que cet endroit est sans doute parfait pour les chiens maso dans mon genre ! Evidement il me faut prendre 5 photos avec le retardateur pour en avoir une de potable. Je multiplie donc les sauts de cabri entre les épines, en culotte et talons... je suis ridicule, je le sais, je le ressent profondément... mais je le fais pour ma Maîtresse et ce ridicule ne suffit pas à atténuer ma fierté de le faire.
Je fais donc une petite pose pour montrer à ma Divine Maîtresse comment son chien compte s'y prendre (photo 05). Puis je reprends l'appareil en main et fais du mieux possible pour pisser sans m'en mettre partout tout en prenant ma queue en pleine action, un grand numéro d'équilibriste (photo 06).
Ouf ! c'est fait. Mal aux genoux, mais ce n'est rien comparé à mon mal au cul après avoir servi de vase.
Je range un peu, me rhabille vaguement (je conserve tous mes attributs de chien soumis : culotte, talons et collier) et je remonte à la voiture, fier de moi, fier d'être un chien obéissant. C'est à ce moment là que j'entends 2 types en vtt qui montent le chemin. Ils sont pressque à mon niveau. Angoisse. Rien pour me cacher dans la garrigue, juste un petit chêne qui ne me cache pas du tout. L'adrénaline monte en flèche : les chaussures sont sans doute masquées par la végétation, mais ma chemise est grande ouverte et mon collier ne semble subitement très en vue. Ils passent, probablement sans me voir. Je ressort vite l'appreil pour apporter des preuves à ma Maîtresse (photo 07) et je m'éloigne de ces lieux, encore tout ému de mon pipi et de la rencontre avec les cyclistes. Je rentre à la maison, talons au pied (photo 08), queue dans ma culotte, collier au cou (chemise fermée, ça rassure)."
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